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26 mai 2009

L'ISF de SARKOZY !

'ASSEZ DE MENSONGES !
VOUS AVEZ LE DROIT DE SAVOIR CAR C'EST VOUS QUI PAYEZ !
INCROYABLE !
L'ISF de SARKOZY !

Mais la Direction des Services Fiscaux vient de le confirmer !
SARKOZY ne paye aucun impôt depuis plus de 12 ans ....
Alors que depuis son élection ses revenus se décomposent ainsi :

Indemnité mensuelle du Président de la République : ..............................................        24 874, 55 €
Retraite de député ( à vie )...................................................................9 298,21 €
Retraite de ministre ( à vie et convertible après son décès en rente viagère pour ses héritiers,
Les petits Sarko sont tranquilles ... ) : ....................................................      8 776, 34 €
Retraite de maire de Neuilly ( à vie ) : ...................................................   6 241, 92 € 
Soit un total mensuel plutôt gentil de : ...........................................                    49 191,02 € !!!

La misère en somme !
Et quelle somme !
Même si, tout à fait légalement, 30 % de ces revenus ne sont pas imposables,
Il reste tout de même à notre agité de l'Elysée un revenu imposable mensuel de : 34.435 ,71 € !!!
On se demande où Cecilia est partie trouver mieux !
Mais sur ces petites rentes, Sarko ne paye plus aucun impôt, malgré les réclamations
Qui lui sont faites depuis 1995 !!! Et ce n'est pas tout !
Sarko a déclaré pour l'ISF un patrimoine de 1.576.394 €, juste avant
l'élection présidentielle.
Or il est propriétaire, outre de trois assurances-vie totalisant 897.654 €,
De : 1 appartement de 340 m2 à Neuilly,
3 studios de rapport dans le 6ème,
1 résidence d'été de 11 pièces et 13.000 m2 de terrain à côté d'Ajaccio ( son intérêt pour
La Corse n'est pas .... désintéressé... ),
1 appartement pour les sports d'hiver au dessus de Chamonix ( 120 m2 )

Sans compter quelques jolies collections de tableaux non assujetties à l'I.S.F.....
Inutile de valoriser ces babioles !Le tout ne dépasse sûrement pas 1.576.394 € ...
Vous qui peinez sous le labeur et les charges,

Diffusez largement ces VERITES autour de vous !!!

Assez de la France qui travaille et de la France qui empoche !
VOUS DEVEZ TOUS TOUT SAVOIR !!!

Toutes ces informations sont vérifiables sur le site de la Recette Principale de Neuilly.

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17 février 2009

Mais qu'à-t-il bien voulu dire ????

11 février 2009

Un document alarmant

Formation des professeurs : parents d'élèves, si vous saviez...

LE MONDE | 10.02.09 |

e projet de réforme de la formation des maîtres entraînera un dramatique recul pour notre école publique. Qu'on en juge ! Aujourd'hui, après la licence et une année de préparation du concours, les lauréats ont le statut de professeur stagiaire.

Ils sont rémunérés durant leur cinquième année d'étude et leur formation se déroule en alternance dans des écoles internes d'universités, les instituts universitaires de formation des maîtres (IUFM) et dans des établissements scolaires. C'est ainsi que les futurs professeurs des écoles se voient confier des élèves, en pleine responsabilité, lors de stages occupant un tiers de l'année, dans trois classes différentes.

Ce n'est pas parfait. Cette formation est trop courte, elle souffre d'une insuffisante prise en compte des gestes professionnels, d'une trop faible articulation entre la pratique et les apports qui l'éclairent (savoirs disciplinaires, didactique, pédagogie, psychologie, sociologie, histoire de l'école...). Nous ne nous satisfaisons donc pas du statu quo : il faudrait concevoir une formation professionnelle plus longue, qui donne toute sa place à la formation universitaire et joue à fond la carte de l'alternance.

Fallait-il donc rayer d'un trait de plume le système actuel, sans aucune évaluation préalable, et le remplacer aussi vite par un autre, différent et sans équivalent ailleurs ? Qu'il faille dispenser une formation disciplinaire de large spectre aux futurs enseignants dans les deux années suivant la licence pour les rendre capables d'intégrer de nouvelles connaissances dans leur enseignement tout au long de leur carrière, cela fait consensus. Qu'il faille renforcer leur formation sur les plans didactique et pédagogique, cela aussi est incontestable. Et que l'on reconnaisse ce plus haut niveau de formation par la délivrance d'un master en est une suite logique. Mais la condition impérative pour que cela soit possible, c'est le maintien de la formation par alternance. Or ce n'est pas du tout ce que prévoit le nouveau dispositif, applicable dès septembre.

Pendant leur formation, les étudiants ne disposeront au mieux que d'un mois de stage pour s'exercer au métier, mais tous n'en bénéficieront pas car il n'est pas obligatoire d'en prévoir dans le cursus. Et comment le pourrait-on quand le ministère promet 40 000 stages pour... 150 000 étudiants ? Heureusement d'ailleurs pour les rectorats, bien incapables de répondre à la demande, notamment dans les académies qui ont le plus de candidats.

Et même quand les étudiants auront un stage, leur obsession légitime sera de réussir le concours : ses épreuves se situent en janvier et juin de la 2e année de master. Et il est évident que leur préparation empêchera aussi de s'engager dans les recherches qu'exige le mémoire de master.

Ensuite, après cette "formation", les débutants devront assurer seuls, sans accompagnement véritable, un enseignement à plein temps à l'année. Ainsi le professeur des écoles qui aura fait un stage d'un mois (dans le meilleur des cas) au CM1 pourra se voir confier, sans expérience préalable, un CP ou une classe de maternelle ! Et le jeune professeur de maths ou d'histoire qui aura pu s'entraîner quelques heures (mais pas toujours) dans une classe de 1re devra enseigner d'emblée à cinq ou six classes allant de la 6e à la 3e dans un collège de banlieue ! Premiers pas inoubliables dans le métier...

Donnerait-on le permis de conduire à des candidats qui n'auraient jamais pris le volant ? Que dirait-on d'une formation d'infirmières qui apprendraient dans les livres à faire les piqûres ? C'est pourtant ce que le ministère s'apprête à décréter. Les conséquences sont hélas prévisibles : les débutants auront du mal à gérer la classe et, malgré eux, ils mettront souvent leurs élèves en difficulté. Les inspecteurs et les chefs d'établissement seront submergés de plaintes, le pourcentage de démissionnaires augmentera, on créera des "cellules de soutien psychologique"...

Cette réforme réussit par ailleurs le tour de force de susciter simultanément de légitimes inquiétudes quant au niveau de maîtrise des disciplines par les futurs enseignants, notamment en raison d'une conception hybride des épreuves des concours. La réduction de leur nombre (pour faire des économies) empêchera de s'assurer que les lauréats maîtrisent bien les savoirs et compétences nécessaires pour enseigner les disciplines scolaires. Le comble est atteint avec le concours de professeurs des écoles, qui n'aura plus d'épreuve pour vérifier de façon fiable leur capacité à enseigner le français !

Enseigner est un métier qui s'apprend, et qui s'apprend continûment, en même temps qu'une fonction sociale qui exige une permanente mise à jour des connaissances. Or, non seulement le projet ne dit rien de la formation continue des professeurs du secondaire, déjà si restreinte, mais il la met en péril dans le primaire. En effet, actuellement, les professeurs des écoles peuvent bénéficier de la formation continue parce que, lors des stages de formation initiale, leurs jeunes collègues les remplacent dans leur classe. En divisant par trois la durée de ces stages, on anéantit la formation continue. On tourne le dos aux conditions du progrès de l'école.

La logique globale semble d'abord budgétaire : la suppression du statut de fonctionnaire stagiaire rémunéré équivaut à un plan social de 20 000 postes. Ce sera aux familles de payer les études... Du moins, celles qui le pourront. Cette logique est injuste.

Mais le projet met aussi à mal l'égalité territoriale. Le caractère national des concours est fragilisé, dans les départements ruraux, l'existence des sites IUFM installés dans les anciennes Ecoles normales est menacée et le gouvernement a engagé les universités dans une concurrence sauvage : on ne peut plus être sûr qu'on formera les mêmes enseignants d'une région à l'autre ou au sein d'une même région tant les conceptions du métier varient d'un projet à l'autre.

Est ainsi en train de se rompre le lien consubstantiel établi depuis Jules Ferry entre l'école, les maîtres et la République, celui d'une formation définie et maîtrisée par l'Etat. Nous assistons à la dénationalisation de la formation des maîtres, le coeur de l'école publique. Pourquoi les citoyens ne sont-ils pas informés de cette réforme essentielle ? Pourquoi le Parlement n'en est-il pas saisi ?

Depuis l'automne, ce projet fait l'unanimité contre lui. La plupart des universités ont demandé un moratoire pour permettre que s'engage une négociation sérieuse autour d'une vraie réforme, plus nécessaire que jamais, à un moment où le métier est de plus en plus difficile. Mais elles ne sont pas entendues.

Pour l'instant, cette obstination a un résultat évident : la pagaille dans le monde universitaire. Le retour des projets de master est imposé pour le 15 février, mais les dernières précisions du ministère datent du 15 janvier et les textes officiels sur les épreuves des concours ne sont toujours pas parus...

Que faire devant tant d'irresponsabilité et tant d'irrespect envers les acteurs de la formation ? Au regard des délais, il n'y a plus d'autre solution : les parents d'élèves, appuyés par les parlementaires et les élus locaux attachés à la qualité de notre école, doivent demander l'arrêt d'urgence de ce train fou. Nous en sommes convaincus, le gouvernement devra alors cesser de s'entêter et retirer sa "réforme", maintenir une année de plus les concours actuels, prendre le temps d'évaluer l'existant et organiser l'indispensable négociation. C'est l'esprit républicain et c'est le simple bon sens. Mais il faut agir vite.


Sylvie Clabecq, professeur IUFM Pays de Loire, université de Nantes ;
Guy Couarraze, président de l'université Paris-Sud-XI ;
Claudine Garcia-Debanc, professeur des universités, IUFM de Midi-Pyrénées, université Toulouse-II-Le Mirail ;
Sylvain Grandserre, professeur des écoles, directeur (Seine-Maritime), prix Louis Cros 2007 ;
Hervé Hamon, écrivain, auteur de "Tant qu'il y aura des profs" et éditeur ;
Jean-Jacques Hazan, président de la Fédération des conseils de parents d'élèves de l'école publique ;
Philippe Joutard, historien, ancien recteur ;
Jean-Pierre Kahane, mathématicien, membre de l'Académie des sciences ;
Georges Molinié, président de l'université Paris-IV (Sorbonne) ;
André Ouzoulias, professeur agrégé, IUFM de Versailles, université de Cergy-Pontoise ;
Sylvie Plane, professeur des universités, IUFM de Paris, université Paris-IV.

Article paru dans l'édition du du MONDE du 11.02.09

4 février 2009

Ensemble c'est possible

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4 février 2009

Langue de bois

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2 février 2009

TELE OFF

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Jeudi 5 février,éteignons notre télé au moment des "explications" de notre président Nicolas Sarkozy.

27 janvier 2009

IMPORTANT

défendons le droit à l'information,
à l'éducation, à la sexualité,
pour toutes et tous

Sarkosy veut supprimer
le planning familial

Réagissons

pétition à signer

ICI

20 décembre 2008

Lettre au Père Noël

Merci de diffuser ces lettres sur vos blogs

ou de les envoyer par e-mails à vos connaissances

___________________

231

Lettre à envoyer sans l’affranchir au :

Père Noël

1, Chemin des Nuages

Pôle Nord

Cher Père Noël,

Puisque nous ne sommes pas entendus par Mr

Darcos, ministre de l’Éducation Nationale, malgré

les 200.000 signatures de la pétition  :

“Sauvons les Rased”

et une mobilisation massive, nous vous demandons à vous,

Père Noël, que tous les enfants de France :

- puissent bénéficier de l'aide spécifique d'un enseignant

spécialisé s'ils en ont besoin au cours de leurs années d'école,

- puissent aller à l'école maternelle et non dans des structures

communales payantes,

- que leurs enseignants aient suivi une formation en

alternance, la seule qui puisse attester de leur qualification à

enseigner à nos enfants.

Merci, Père Noël, de nous aider à défendre une certaine idée

de l'école de la République, l'école pour tous, gratuite, laïque et

défendant l'égalité des chances.

NOM prénom : ...............................................

(père, mère, enfant, grand-parent, enseignant, citoyen, autre :

........................................................................................)

Signature :

______________________________________________________________________

Copie de la lettre au père noël à envoyer sans l’affranchir à :

Monsieur le Président de la République

Palais de l'Élysée

55, rue du faubourg Saint-Honoré

75008 Paris

Cher Père Noël,

Puisque nous ne sommes pas entendus par Mr

Darcos, ministre de l’Éducation Nationale, malgré

les 200.000 signatures de la pétition :

“Sauvons les Rased”

et une mobilisation massive, nous vous demandons à vous,

Père Noël, que tous les enfants de France :

- puissent bénéficier de l'aide spécifique d'un enseignant

spécialisé s'ils en ont besoin au cours de leurs années d'école,

- puissent aller à l'école maternelle et non dans des structures

communales payantes,

- que leurs enseignants aient suivi une formation en

alternance, la seule qui puisse attester de leur qualification à

enseigner à nos enfants.

Merci, Père Noël, de nous aider à défendre une certaine idée

de l'école de la République, l'école pour tous, gratuite, laïque et

défendant l'égalité des chances.

NOM prénom : ...................................................................

(père, mère, enfant, grand-parent, enseignant, citoyen, autre :

........................................................................................)

Signature :

_______________________________________________________________________

no006

12 décembre 2008

Un lien envoyé par Zebu :

5 décembre 2008

On veut nous faire croire

que nous accouchons de petits montres :

pour lutter contre la délinquance

l'UMP veut dépister les troubles du comportement

chez l'enfant de moins de trois ans

allez lire la suite sur le blog "Sauvons l'école" en cliquant ci-dessous

http://sauvons-lecole.over-blog.com/article-25383582.html#SlideFrame_1

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